



Une guerre de papier
La presse basque antifasciste dans les années trente
Avec une préface de Julio Arostegui.
- Sommairekeyboard_arrow_down
Préface de Julio Arostegui
De la paix à la guerre : une société marquée par de profondes mutations
- Entre rupture et continuité : le Pays Basque à la veille du conflit
- Naissance et mort de l'Euzkadi
La presse basque face aux cointraintes de la guerre
- Une presse à l'image de la société basque
- L'adaptation de la presse aux contraintes de la guerre
Au cœur du conflt : la presse antifaciste dans la société en guerre
- Un relais de l'information officielle et politique
- Seconder les autorités et stigmatiser la déviance : la norme sociale en temps de guerre
- La presse au service des combattants et de la société en guerre
Dire, penser et représenter la guerre
- La presse comme école de la guerre
- La guerre, une construction idéologique
- La vie au front ou quand d'autres stratégies s'imposent
- Auteur(s)keyboard_arrow_downSeveriano Rojo Hernãndez est maître de conférences à l'université de Bretagne occidentale. Spécialiste de l'Espagne contemporaine, il est l'auteur d'église et société. Le clergé paroissial de Bilbao, de la République au franquisme (1931-années 50) (2000). Il a également publié de nombreux articles sur le nationalisme basque. Actuellement, ses travaux abordent des questions comme la culture de guerre et le rôle de la presse au cours de la guerre civile espagnole. Il a fondé la revue Amnis et codirige la revue El Argonauta Español.
- Revue(s) de pressekeyboard_arrow_down
«L'histoire du Matin se situe au sein de celle de la presse bon marché à grand tirage qui, sur le modèle du Petit Journal, se développe avec Le Petit Parisien, Le Matin et Le Journal, et connaît son heure de gloire entre les années 1890 et les années 1930. Projet de Dominique Pinsolle : non pas retracer l'histoire d'un journal et de l'entreprise qui l'édite, mais focaliser l'étude sur «la presse d'argent et de chantage» et particulièrement sur Maurice Bunau-Varilla, le patron du journal pendant cinquante ans ainsi que sur les «affaires» financières et politiques qu'il fait, promeut ou cherche à discréditer. On savait que Le Matin était une feuille vénale, une feuille de chantage, mais Dominique Pinsolle nous le démontre avec brio.»
Vingtième siècle. Revue d'histoire, Librairie, n°116, 2012/4, p.199-200
- Fiche techniquekeyboard_arrow_downDistributeur : SODISNb de pages : 300Largeur (cm) : 15,5Hauteur (cm) : 24
- Introduction, table des matières, 4e de couverture et autres documentskeyboard_arrow_down