



De la sensibilité : les esthétiques de Kant
Les esthétiques kantiennes sont confrontées dans ce volume aux doctrines classiques de la sensibilité, d'Aristote à Wolff, en passant par Leibniz et Locke, puis interrogées quant à leur postérité, de l'idéalisme allemand à la phénoménologie. On interroge la cohérence entre les trois Critiques au fil conducteur de la question de la sensibilité, l'invention d'une sensibilité transcendantale marquant une rupture par rapport à la tradition métaphysique et à l'empirisme. Peut-être comprendra-t-on alors comment un rationalisme conséquent a également pu se présenter comme une «apologie de la sensibilité».
Avec le soutien de l'équipe d'accueil 1270 Philosophie des normes de l'université Rennes 1.
- Sommairekeyboard_arrow_down
- Antécédents historiques de l'esthétique kantienne : philosophie grecque, empirisme anglais, tradition leibnizo-wolffienne
- La sensibilité au sein du système kantien : théorie de la connaissance, éthique, religion
- Héritages, prolongements et critiques de l'esthétique kantienne : néokantisme, phénoménologie, herméneutique et philosophie analytique
- Auteur(s)keyboard_arrow_down
François Calori est maître de conférences à l'université Rennes 1. Ses recherches portent sur l'histoire de la philosophie morale et politique au XVIIIe siècle.
Michaël Fœssel est professeur de philosophie à l'école polytechnique, spécialiste de philosophie allemande et de philosophie politique.
Ancien élève de l'école normale supérieure, Dominique Pradelle est professeur d'histoire de la philosophie allemande à l'université Paris-Sorbonne, spécialiste de phénoménologie husserlienne et heideggérienne.
- Fiche techniquekeyboard_arrow_downDistributeur : SODISNb de pages : 382Largeur (cm) : 17Hauteur (cm) : 21
- Introduction, table des matières, 4e de couverture et autres documentskeyboard_arrow_down