



Poétesses et escrivaines en Occitanie médiévale
La trace, la voix, le genre
Dix-sept poétesses ont composé en Occitanie médiévale entre 1170 et 1240 des pièces lyriques, des lettres et des débats. Pour autant nous ne détenons de cet âge d'or, antérieur à la Croisade des Albigeois, que des fragments épars, des pièces isolées, des capitales ornées et de rares notations musicales. Ces poétesses composèrent en langue d'oc, une langue de culture relativement homogène. Leur appartenance à la noblesse, leur éducation et la liberté probable dont elles jouissaient les y disposaient.
Avec le soutien de l'université d'Angers.
- Sommairekeyboard_arrow_down
- Les premières traces d'une auctorialité au féminin
- Ce que les « enseignes » disent
- La voix, le texte et le genre
- Postérité : après le Moyen Âge en France
- La critique universitaire au prisme du genre
- Auteur(s)keyboard_arrow_down
Frédérique Le Nan enseigne à l'université d'Angers en langue et littérature du Moyen Âge ; elle est rattachée au laboratoire 3L.AM. Elle a codirigé avec A. Brünig et C. Pergoux-Baeza, Voix de femmes dans le monde. Au prisme du genre dans la littérature et les arts (Rennes, PUR, 2018), et avec Christine Bard, Dire le genre. Avec les mots, avec le corps (Paris, CNRS Éditions, 2019).
- Fiche techniquekeyboard_arrow_downNb de pages : 272Largeur (cm) : 15,5Hauteur (cm) : 21
- Introduction, table des matières, 4e de couverture et autres documentskeyboard_arrow_down