Arthur après Arthur
La matière arthurienne tardive en dehors du roman arthurien (1270-1530)
À travers un parcours des attestations arthuriennes allant des années 1270 au début du XVIe siècle, cet ouvrage réunit des articles mettant en évidence l’évolution des usages de la matière arthurienne, entre intertextualité, transfictionnalité, pratique de l’allusion et réminiscences vagues. La matière arthurienne est donc ici vue à la fois comme tradition littéraire, comme phénomène culturel, voire comme phénomène de mode.
Publié avec le soutien de la Maison des sciences de l’homme en Bretagne.
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2017 Christine Ferlampin-Acher (dir.) ![]()
Domaine :
Littérature |
Littérature Moyen Âge Collection : Interférences ![]() Format : 15,5 x 21 cm ISBN : 978-2-7535-5268-5
Disponibilité : en librairie |
Le temps du roy Artus et des compaignons de la Table Ronde (Méliadus et Clériadice, § 1,1) : histoire(s) arthurienne(s)
Il n’y eut si petit qui a celle heure ne cuidast valoir Lancelot (Le livre du Cœur d’Amour Epris, XLV, L. 4) : modèles arthuriens
Artus de Bretaigne […] et maint autre dont je sui certaine que vous avez oÿ parler (Guillaume de Machaut, Le Voir Dir, VII) : une mode arthurienne ?
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4e de couverture (Fichier pdf, 26 Ko)
Christine Ferlampin-Acher est professeur de langue et littérature française du Moyen Âge à l’université Rennes 2 et membre senior de l’Institut universitaire de France.