L’art social en France
de la Révolution à la Grande Guerre
De la Révolution à la Grande Guerre, cet ouvrage examine les discours sur « l’art social », leurs origines idéologiques, leurs tensions, ainsi que l’histoire de la notion et le rôle qu’elle a pu jouer dans les pratiques artistiques. Il s’agit d’interroger la fonction de l’art dans une société post-révolutionnaire, industrielle et marchande, ainsi que son autonomie et son originalité. Plus largement, les auteurs se proposent de replacer l’idée d’art social dans la longue durée et d’en découvrir les acteurs.
En coédition avec l’Institut national d’histoire de l’art.
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2014 Neil McWilliam, Catherine Méneux et Julie Ramos (dir.) ![]()
Domaines :
Histoire |
Histoire contemporaine Collection : Art et Société ![]() Format : 17 x 24,5 cm Illustrations : N & B ISBN : 978-2-7535-2891-8
Disponibilité : en librairie |
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Introduction (Fichier pdf, 618 Ko)
Table des matières (Fichier pdf, 578 Ko)
Les auteurs (Fichier pdf, 29 Ko)
4e de couverture (Fichier pdf, 29 Ko)
Neil McWilliam est Walter H. Annenberg, Professor of Art and Art History à Duke University (Caroline du nord, États-Unis).
Catherine Méneux est maître de conférences à l’université de Paris 1-Panthéon-Sorbonne et membre de l’HiCSA, ED 4100.
Julie Ramos est maître de conférences à l’université de Paris 1-Panthéon-Sorbonne, membre de l’HiCSA, ED 4100 ; elle a occupé la fonction de conseillère scientifique à l’Institut national d’histoire de l’art de 2009 à 2013.
« Sans prétendre épuiser la question, cet ouvrage exigeant mais toujours accessible dresse un tableau complet de l’influence de l’art sur l’organisation sociale dans des domaines aussi divers que la fête publique, le logement, la propagande électorale ou la décoration. »
Vox patrimonia, numéro 10, juillet/août 2014