Le photojournalisme des années 1930 à nos jours
Structures, culture et public
Principale source d’information écrite depuis la Seconde Guerre mondiale, le magazine photojournalistique reste mal connu. En révélant les ressorts qui le façonnent depuis les années 1930, le présent ouvrage comble une lacune. ELLE, L’Illustration, L’Illustré, L’Intransigeant, Le Monde Illustré, Le Trégor, Life, VU, Marie-Claire, Nous les garçons et les filles, Miroir du Monde, Paris-Match, O’Cruzeiro, Regards, Salut les copains révèlent la place de l’évènement, de l’économie et de la politique, au même titre que des figures du patron de presse, du photoreporter et de la star, dans la construction du magazine et de l’actualité.
Avec le soutien de l’université de Paris 13 et de la maison des sciences de l’homme Paris Nord.
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2014 Karine Taveaux-Grandpierre et Joëlle Beurier (dir.). Jean-Pierre Bacot et Michèle Martin (collab.) ![]()
Domaines :
Histoire |
Histoire contemporaine Collection : Histoire ![]() Format : 15,5 x 24 cm Illustrations : N & B ISBN : 978-2-7535-2867-3
Disponibilité : en librairie |
Téléchargement :
Introduction (Fichier pdf, 705 Ko)
Table des matières (Fichier pdf, 609 Ko)
Les auteurs (Fichier pdf, 586 Ko)
4e de couverture (Fichier pdf, 35 Ko)
Joëlle Beurier est docteure en histoire de l’Institut universitaire européen et professeur agrégée à l’université de Reims-Champagne Ardenne. Spécialiste de la culture visuelle de la violence au XXe siècle , elle travaille sur la presse illustrée comme outil d’investigation privilégié des représentations contemporaines.
Karine Taveaux-Grandpierre est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication, membre du LabSIC, université Paris 13 et de la MSH Paris Nord. Ses recherches se centrent sur la diffusion de la presse en France et l’histoire de la presse française des XIXe-XXIe siècles et sur la presse magazine féminine dans une perspective transnationale.
« Cet ouvrage tâche de hiérarchiser les facteurs de l’élaboration d’un magazine, à commencer par la figure du photoreporter qui connaîtra son heure de gloire dans les années 50 et qui laisse désormais la place à l’amateur saisissant l’événement avec son téléphone portable. »
Nelly Sanchez, Cahiers des Amis de Lucie-Delarue Mardrus